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MONS. PEDRO THUC FALA SOBRE A IGREJA CATÓLICA EM SEU PAÍS



UNE PAGE SUR L'ÉGLISE DU VIETNAM


par S.E. Mgr. Pierre Martin Ngô-dinh-Thuc


CONSECRATION


J'étais alors Archévêque Metropolitain de Huê ayant plusieurs Évêques suffragants, c'est pourquoi le Saint Siège me demanda de sacrer évêques plusieurs prêtres viêtnamiens: Ils étaient 5 candidats à l'épiscopat: deux d'entre eux étaient des prêtres que j'avois envoyés en France pour s'habituer à parler français (le Viêtnam alors était possession française). C'étaient l'abbé Nguyen-ngoc-Quang-Jacques, el l'abbé Trân-vàn-Thiên, devenus plus tard évêque de Cântho et de My-tho; le troisième, l'abbé Philippe Nguyen-Kim-Dien, devenu plus tard mon successeur à l'archevêché de Huê; le quartième était tonkinois, devenu évêque de Ban-mê-thuot dans les Hauts-Plateaux du Sud Viêtnam, son nom est: Mgr. Pierre Nguyen-hay-Mai; le dernier est Mgr. Nguyen-Khac-Ngu Michel, évêque de Long-xuyen (Sud Viêtnam), il est aussi d'origine Tonkin.


Pourquoi j'ai été choisi pour sacrer ces prêtres? Car, d'ordinaire, c'était le représentant du pape qui le faisait. En voici la raison: si le représentant du St. Père était évêque, arrivé à l'âge de retraite, il serait à la charge du Pape; tandis que s'il n'avait pas l'épiscopat, c'état son diocèse d'origine qui devait s'occuper de lui.


Donc, quand le Pape successeur de Pie XII. permit à ses représentants d'accêder à lépiscopat, ils se précipitaient dans leur patrie d'origine pour se faire sacrer évêque.


Donc, le Saint Siège m'a invité à sacrer les 5 candidats en question. Habituellement le prélat devenu évêque offrait à son consecrateur 2 gros cièrges. Or les 5 évêques sacrés par moi, conservaient pour eux les cièrges, et moi, j'ai eu l'honneur de sacrer 5 évêques gratis pro Deo.


MARTYRS

Le Viêtnam catholique a donné à l'Église autant de martyrs que les chretiens de Rome pendant la persécution de Néron, mais nous n'avons que peu de martyrs béatifiés, car nous sommes trop pauvres pour payer les frais d'une canonisation.


Dans ma familie, tous les miens sont morts martyrs, brûlés dans l'incendie de l'église du notre paroisse, le curé en tête; une seule personne a échappé au feu. C'était une petite fille âgée alors de 7 ans. Quand l'église brûlait, elle sauta au dehors sous le corps d'un homme à demis mort, qui lui dit: "caches toi sous moi, et lorsque les payens seront partis, tu prendras la fuite." Ce qu'elle fit, elle est devenue après une religieuse, mais toute sa vie, elle regrettait toujours de n'être pas restée dans l'église de sa paroisse et être brûlée avec les autres.


Mais, demandez-vous: comment votre père a pu échappé à ce martyre? Mon père était alors dans le séminaire à Poulo-Pinang, séminaire fondé par les Missions Ètrangrès de Paris. Ces séminaristes une fois finis leur cours de latin, puis de philosophie, et de théologie rentrerent dans leurs patries pour être sacrés prêtres par le Vicaire apostolique du lieu.


Mon père fit comme ses confrères, mais il attendit plusieurs années sans recevoir les ordres. L'évêque lui confia d'enseigner la philosophie et la théologie aux grands séminaristes, mais il restait toujours laïque. À la fin, le Père Directeur du Grand Séminaire le convoqua et lui dit: Vous ne serez jamais ordonné prêtre, parce que notre Évêque a voulu ne d'en ordonner qu'un certain nombre, et hélas! vous êtes en dehors de ce nombre, donc rentrez dans le monde en outre, votre mère est très vieille, elle n'ait de quoi vivre, vous avez le devoir de la secourir." Mon père alors quitta le grand séminaire et ses élèves, pour obéir aux conseils au Père supérieur. Ce Père lui donna quelques sous pour passer le bac qui faisait le service entre le séminaire e le fleuve "des Parfums" pour y prendre sa mère avec lui. Il se rendit ensuite à la paroisse tout proche dont le curé était le Père Allys, un breton et lui exposa sa situation. Le Père Allys (en vietnamien: Cô Ly) l'emmena chez les officiers français pour être leur interprète auxprès des Viêtnamiens. Ces officiers parlaient en latin à mon père; celui-ci le traduisit en viêtnamien, (alors on les appelait: annamites: du nom du pays: Annam: qui se traduit du chinois: "le Sud pacifié". Le mot "Viêtnam" n'a été employe que récemment. Il signifie le Viêt du Sud. Car les Viêtnamiens prétendent qu'il y a aussi encore des Viêtnam du Nord, dans les montagnes et forêts de la Chine actuelle. Car les Viêtnamiens prétendent que autrefois leurs ancêtres occupaient toute la Chine jusqu'à territoire de l'actuel Pékin, et qu'ils auraient été refoulés vers le Sud par les anciens chinois qui venaient des steppes du Nord.)


Donc, mon père en travaillant comme interprète auprès des officiers français, apprit très vite la langue française. - Plus tard, il resolut d'enseigner le français aux jeunes viêtnamiens. Pour cela, il ouvrit le premier collège francoviêtnamien, à Hué, la capitale du Viêtnam: il nomma ce collège: "quôc hoc" qui veut dire: "Collège national". Dans ce collège il y avait une classe réservée aux lauréats viêtnamien en caractères chinois. Mon père leur enseigna le français. Grâces à ce savoir, ses élèves devinrent de grands mandarins du royaume, certains d'entre eux devinrent ministres de l'empereur, et par reconnaissence envers mon père, ils favorisaient mes frères quand ils cherchaient à entrer dans le mandarinat. Car les "Annamites" considéraient le vertu de "reconnaissance" comme une des plus grandes parmi les vertus.


Parmi les obligés de mon père se trouvait une personne très intelligente et très sage dont le nom est: "Nguyen-huu-Bai." Mon père le connût au séminaire, quand il y était professeur, et Mr. Bai séminariste; et plus tard quand Mr. Bai quitta le séminaire, mon père lui confia ses fonctions de mandarin. C'était grâces à cet appui que Mr. Bai devint petit à petit le premier ministre de la Cour d'Annam, et duc de Phouc-môn. C'est moi qui l'assistai à son chevet mortuaire et conduis au tombeau qui est dans son domaine dont le nom est "Porte du Bonheur".


Mon frère aîné: NGO-dinh-KHÔI avait épousé la fille aînée de Mr. Bai. Elle lui donna un garçon. Ce garçon devenu jeune homme voulut mourir avec son père, quand celui-ci refusa de collaborer avec les communistes qui lui avait proposé de travailler avec eux: il leur dit: "Je suis catholique, ma religion m'interdit de collaborer avec vous." Les communistes furieux le condamnerent à être enseveli vivant dans un puit profond. Son fils se jeta dans ce puit, et les deux martyrs pour la Foi moururent fusillés par les communistes et enfouis dans ce puit. Quand plus tard les communistes furent chassés du Sud Viêtnam par mon frère NGO-dinh-DIÊM, il fit transférer leurs restes dans le grand sépulchre que possède notre familie près de la Cathédrale de Phûcam, Cathédrale de l'archevéché de Huê.


C'est ainsi que notre famille offrit au Seigneur l'aîné de notre familie.


Munich le 1er Mars 1982(sig.:)


† Petrus Martinus Ngô-dinh-Thuc

Ancien Archévêque de Huê


(Em breve também traduziremos este texto, mas fazemos questão de colocá-lo em nosso blog de imediato, para que os nossos irmãos de língua francesa, que nos acompanham de várias partes do mundo, possam lê-lo desde já.)

Le plan maçonnique d'infiltration de l'Eglise romaine

Voici des extraits du plan d’infiltration de l’Église ro­maine, élaboré par la franc-maçonnerie italienne et découvert par la police du pape Pie IX: « Ce que nous devons chercher et attendre, comme les juifs attendent le messie, c’est un pape selon nos besoins [...]. Pour nous assurer un pape dans les proportions exigées, il s’agit d’abord de lui façonner, à ce pape, une génération digne du règne que nous rêvons. Laissez de côté la vieillesse et l’âge mûr; allez à la jeunesse [...]. Dans quelques années, ce jeune clergé aura, par la force des choses, envahi toutes les fonctions; il gouvernera, il administrera, il jugera, il formera le conseil du souverain, il sera appelé à choisir le pontife qui devra régner, et ce pontife, comme la plupart de ses contemporains, sera nécessairement plus ou moins imbu des principes [...] que nous allons commencer à mettre en cir­culation [...]. Que le clergé marche sous votre étendard en croyant toujours marcher sous la bannière des clefs apostoliques [...]. Vous aurez prêché une révolution en tiare et en chape, marchant avec la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que [...] d’être un tout petit peu aiguillonnée pour mettre le feu aux quatre coins du monde » (in: Crétineau-Joly: L’Église romaine en face de la révolution, 1859, réédition Paris 1976, 1. II, p. 82 - 90).

À l’époque du concile de Vatican I, un haut dignitaire de la maçonnerie se réjouit de « l’appui précieux que nous trouvons depuis plusieurs années dans un parti puissant, qui nous est comme un intermédiaire entre nous et l’Église, le parti catholique libéral. C’est un parti que nous tenons à ménager, et qui sert nos vues plus que ne pensent les hommes plus ou moins éminents qui lui appartiennent en France, en Belgique, dans toute l’Allemagne, en Italie et jusque dans Rome, autour du pape même » (in: Mgr Delassus: Vérités sociales et erreurs démocratiques, 1909, réédition Villegenon 1986, p. 399).



Léon XIII (encyclique Inimica vis, 8 décembre 1892) mit en garde l’épiscopat d’Italie. « Les sectaires maçons cherchent par des promesses à séduire le clergé inférieur. À quelle fin? [...] Ce qu’ils veulent, c’est de gagner doucement à leur cause les ministres des choses sacrées, et puis, une fois enlacés dans les idées nouvelles, d’en faire des révoltés contre l’autorité légitime ».



Léon XIII mourut en 1903. La franc-maçonnerie souhaita l’élection d’un successeur imbu de l’esprit maçonnique. Voici le portrait du candidat idéal, esquissé en 1903 par la revue maçonni­que Acacia: « Un pape qui desserrerait les liens du dogmatisme tendus à l’excès, qui ne prêterait pas l’oreille aux théologiens fanatiques et dénonciateurs d’hérésies, qui laisserait les exégètes travailler à leur guise, se bornant à maintenir une unité qui serait plutôt une solidarité entre les diverses branches de l’Église, qui n’entrerait pas en lutte avec les gouvernements, qui pratiquerait et recommanderait la tolérance entre les autres religions, même envers la libre-pensée, qui ne renouvellerait pas l’excommunication de la franc-maçonnerie » (Acacia, septembre 1903, in: Lecture et Tradi­tion, no 94, mars/avril 1982).



En 1903, les catholiques faillirent avoir pour pape, à la place de Giuseppe Sarto (Saint Pie X), le cardinal franc-maçon RampoIla, secrétaire d’État de Léon XIII. Il concentra sur lui la majorité des voix, mais fut écarté suite à l’intervention de l’Empire austro-hongrois.



Malgré cet échec ponctuel, le plan maçonnique ne fonctionna que trop bien. Le pape saint Pie X (encyclique Notre charge apostolique, 25 août 1910) dénonça les infiltrations maçonniques dans le « Sillon » (mouvement de la jeunesse chrétienne française). « Nous ne connaissons que trop les sombres officines où l’on élabore ces doctrines délétères, qui ne devraient pas séduire des esprits clairvoyants. Les chefs du Sillon n’ont pu s’en défendre: l’exaltation de leurs sentiments, l’aveugle bonté de leur cœur, leur mysticisme philosophique mêlé d’une part d’illuminisme, les ont entraînés vers un nouvel évangile, dans lequel ils ont cru voir le véritable Évangile du Sauveur, au point qu’ils osent traiter Notre Seigneur Jésus-Christ avec une familiarité souverainement irrespec­tueuse, et que, leur idéal étant apparenté à celui de la révolution, ils ne craignent pas de faire entre l’Évangile et la Révolution des rapprochements blasphématoires ».



Le clergé était également infiltré. Sentant les « modernistes » (clercs ayant adopté les principes maçonniques du rationalisme, du subjectivisme, de l’indifférence en matière de religion et de réforme de l’Église) rôder autour de lui, ce saint pape s’écria angoissé: « Ennemis de l’Église, certes ils le sont, et à dire qu’elle n’en a pas de pires, on ne s’écarte pas du vrai. Ce n’est pas du dehors, en effet, on l’a déjà noté, c’est du dedans qu’ils trament sa ruine; le danger est aujourd’hui presque aux entrailles mêmes et aux veines de l’Église » (encyclique Pascendi, 8 septembre 1907).



Dans les années vingt, la conjuration avait pris des proportions alarmantes, car non seulement le bas clergé et la jeunesse, mais aussi une partie notable du haut clergé militaient désormais sous la bannière de la révolution. Lors du consistoire secret du 23 mai 1923, Pie XI interrogea une trentaine de cardinaux de la curie sur l’opportunité de convoquer un concile œcuménique. Le cardinal Boggiani estima qu’une partie considérable du clergé et des évêques étaient imbus des idées modernistes. « Cette mentalité peut incliner certains Pères à présenter des motions, à introduire des méthodes in­compatibles avec les traditions catholiques ». Le cardinal Billot était encore plus franc. Il exprima sa crainte de voir le concile « manœuvré » par « les pires ennemis de l’Église; les modernistes, qui s’apprêtent déjà, comme des indices certains le montrent, à faire la révolution dans l’Église, un nouveau 1789 » (in: Mgr Marcel Lefebvre: Ils l’ont découronné. Du libéralisme à l’apostasie. La tragédie conciliaire, Escurolles 1987, p. 158 - 159).



À la mort de Pie XII, le rêve de la maçonnerie se ré­alisa: une « révolution en tiare et en chape ». Angelo Roncalli (qui s’était fait initier dans une société secrète en Turquie en 1935, puis s’était affilié à une loge maçonnique à Paris) prit le nom de « Jean XXIII ». Il convoqua Vatican II, qui bouleversa entièrement la reli­gion, par exemple en proclamant la « liberté de pensée, qui, partie de nos loges maçonniques, s’est étendue magnifiquement au-dessus du dôme de Saint Pierre » (Yves Marsaudon: L‘œcuménisme vu par un franc-maçon de tradition, 1964, p. 121).



Les partisans du changement s’appellent « conciliaires » (nom dérivé du « conciliabule » Vatican II). Les opposants s’appellent « catholiques » (en raison de leur attachement au catholicisme).



* * *



Depuis 1958, Rome prend le contre-pied de ce que la papauté a toujours enseigné. Certaines personnes font alors le syllogisme suivant: toutes les fois qu’il ne définit pas solennellement ex cathedra un dogme, un pape peut se tromper. C’est pourquoi on n’est pas tenu de lui obéir, chaque fois qu’il enseigne ou commande quelque chose de contraire à la foi. Les hommes au pouvoir à Rome depuis 1958 profèrent des hérésies, mais pas ex cathedra. Donc ces hommes sont papes.



D’autres personnes établissent un syllogisme différent: l’enseignement ex cathedra est véhiculé non seulement par le mode « extraordinaire » (définitions solennelles), mais encore par le mode « ordinaire » (écrits de tous les jours). Un pape ne se trompe à aucun moment dans le domaine de la foi, car il est sans cesse assisté par le Saint-Esprit, conformément à la promesse formelle du Christ (Jean XIV, 15 - 17). « Comment un pape vrai successeur de Pierre, assuré de l’assistance de l’Esprit-Saint, peut-il présider à la destruction de l’Église? » (Mgr Lefebvre, in: Bonum certamen, no 132, Nancy). Cette défaillance ne serait-elle pas le signe que les hommes gouvernant le Vatican depuis 1958 ne sont pas de véritables papes, mais des usurpateurs, des occupants illégitimes du Siège de Pierre?



Ces façons d’envisager le problème sont logiques toutes les deux. Seulement, un syllogisme peut être logique tout en étant faux. Car tout dépend des prémisses desquelles on tire une conclusion. Si une prémisse est fausse, on arrive, par un raisonnement en lui-même logique, à une conclusion fausse. Avant de commencer à raisonner en bon logicien, il est donc indispensable de s’assurer que les bases sur lesquelles s’appuie le raisonnement correspondent à la réalité. « La plupart des erreurs des hommes viennent moins de ce qu’ils raisonnent mal en partant de principes vrais, que de ce qu’ils raisonnent bien en partant de jugements inexacts ou de principes faux » (Charles Augustin Sainte-Beuve: Causeries du lundi, Paris 1851-1862, t. X, p. 36)



Afin de ne point raisonner dans le vide, nous avons entrepris une vaste enquête théologique, historique et canonique. Nous avons recueilli bien des informations et documents, afin de constituer une base très solide à cette étude, dont le plan est exposé au point suivant.




(MYSTÉRE d'INIQUITÉ, chapitre 1, partie 1.4.2)


(Em breve traduziremos partes as partes mais relevantes desta obra prefaciada por Mons. Dolan)

FIRME PROFISSÃO DE FÉ CATÓLICA: O CREDO ATANASIANO


1. "Quem quiser salvar-se deve antes de tudo professar a fé católica.

2. Porque aquele que não a professar, integral e inviolavelmente, perecerá sem dúvida por toda a eternidade.

3. A fé católica consiste em adorar um só Deus em três Pessoas e três Pessoas em um só Deus.

4. Sem confundir as Pessoas nem separar a substância.

5. Porque uma so é a Pessoa do Pai, outra a do Filho, outra a do Espírito Santo.

6. Mas uma só é a divindade do Pai, e do Filho, e do Espírito Santo, igual a glória, coeterna a majestade.

7. Tal como é o Pai, tal é o Filho, tal é o Espírito Santo.

8. O Pai é incriado, o Filho é incriado, o Espírito Santo é incriado.

9. O Pai é imenso, o Filho é imenso, o Espírito Santo é imenso.

10. O Pai é eterno, o Filho é eterno, o Espírito Santo é eterno.

11. E contudo não são três eternos, mas um só eterno.

12. Assim como não são três incriados, nem três imensos, mas um só incriado e um só imenso.

13. Da mesma maneira, o Pai é onipotente, o Filho é onipotente, o Espírito Santo é onipotente.

14. E contudo não são três onipotentes, mas um só onipotente.

15. Assim o Pai é Deus, o Filho é Deus, o Espírito Santo é Deus.

16. E contudo não são três deuses, mas um só Deus.

17. Do mesmo modo, o Pai é Senhor, o Filho é Senhor, o Espírito Santo é Senhor.

18. E contudo não são três senhores, mas um só Senhor.

19. Porque, assim como a verdade cristã nos manda confessar que cada uma das Pessoas é Deus e Senhor, domesmo modo a religião católica nos proíbe dizer que são três deuses ou senhores.

20. O Pai não foi feito, nem gerado, nem criado por ninguém.

21. O Filho procede do Pai; não foi feito, nem criado, mas gerado.

22. O Espírito Santo não foi feito, nem criado, nem gerado, mas procede do Pai e do Filho.

23. Não há, pois, senão um só Pai, e não três Pais; um só Filho, e não três Filhos; um só Espírito Santo, e não três Espíritos Santos.

24. E nesta Trindade não há nem mais antigo nem menos antigo, nem maior nem menor, mas as três Pessoas são coeternas e iguais entre si.

25. De sorte que, como se disse acima, em tudo se deve adorar a unidade na Trindade e a Trindade na unidade.

26. Quem, pois, quiser salvar-se, deve pensar assim a respeito da Trindade.

27. Mas, para alcancar a salvacão, é necessário ainda crer firmemente na Encarnação de Nosso Senhor Jesus Cristo.

28. A pureza da nossa fé consiste, pois, em crer ainda e confessar que Nosso Senhor Jesus Cristo, Filho de Deus, é Deus e homem.

29. É Deus, gerado na substância do Pai desde toda a eternidade; é homem porque nasceu, no tempo, da substância da sua Mãe.

30. Deus perfeito e homem perfeito, com alma racional e carne humana.

31. Igual ao Pai segundo a divindade; menor que o Pai segundo a humanidade.32. E embora seja Deus e homem, contudo não são dois, mas um só Cristo.

33. É um, não porque a divindade se tenha convertido em humanidade, mas porque Deus assumiu a humanidade.

34. Um, finalmente, não por confusão de substâncias, mas pela unidade da Pessoa.

35. Porque, assim como a alma racional e o corpo formam um só homem, assim também a divindade e a humanidade formam um só Cristo.

36. Ele sofreu a morte por nossa salvação, desceu aos infernos e ao terceiro dia ressuscitou dos mortos.

37. Subiu aos Ceus e está sentado a direita de Deus Pai todo-poderoso, donde há de vir a julgar os vivos e os mortos.

38. E quando vier, todos os homens ressuscitarão com os seus corpos, para prestar conta dos seus atos.

39. E os que tiverem praticado o bem irão para a vida eterna, e os maus para o fogo eterno.

40. Esta é a fé católica, e quem não a professar fiel e firmemente não se poderá salvar".

CARTA ABIERTA A LOS SRES. OBISPOS CATOLICOS-SEDEVACANTISTAS


Excelencias:

No me lleva a escribir esta carta ningún otro movimiento de mi alma que no sea la Caridad, según el "mandamiento nuevo" que antes de Su Pasión, Ntro. Salvador dio a los Apóstoles:"Que os améis unos a otros: para que así como Yo os he amado, vosotros también os améis unos a otros.En esto reconocerán todos que sois discípulos míos, si tenéis amor unos para otros"(Sn.Jn.)


Pido que no digan " que nos viene a enseñar éste que está envuelto en pecados", que me juzgue El que no los tiene, pero no miren quién escribe, sino lo qué escribe, que es resultado de ver cómo está tán resentida la Iglesia Católica dispersada en cientos de rebañitos sin el principio de la unidad y de gobierno que es el Sumo Pontífice.Aunque retirado del ministerio hace 15 años, tengo no obstante el carácter sacramental que no se pierde, así como tampoco he perdido la Fe y la conservo intacta por pura gracia de Dios: "En Dios esperó mi corazón y fui socorrido"(Ps.XXVII).


Beso sus anillos espicopales como si fueran mis señores, aunque sean mis iguales por el Orden Episcopal, y de rodillas les envío esta carta nacida del profundo amor y respeto que les profeso por ser consiervos del mismo y único Señor y Salvador, y Capitanes de Su ejército, pero nacida también de un profundo dolor producido por lo que a continuación les detallo."YA NO DURMAIS, NO DURMAIS" Sta. Teresa


Sabemos que Dios saca bien del mal y confiamos en el poder de Ntro. Señor y Salvador Jesucristo, pero esta verdad no nos tapa los ojos ni nos ata las manos.Vemos con dolor y casi con impotencia insalvable el número cada vez más creciente de capillitas, congregaciones, sociedades, que cada nuevo obispo funda, como que esa fuera la razón que tienen para seguir existiendo, ellas sólo con él y él por ellas.Decimos que vemos con dolor cómo los obispos, que deben sostener y mantener la Fe Católica contra los errores y la apostasía están ocupados en cómo hacer crecer "su" rebañito de fieles a los cuales NADIE les encomendó.Vemos con dolor cómo se dispersan las fuerzas en un combate restringido para conservar su "autoridad" -sin cargo ni jurisdicción- atribuyéndose honores y cuidados no debidos en unos tiempos -como los nuestros- en los que por sobre todos los otros cuidados -que son accesorio y consecuencia- deberían ocuparse con urgencia y aún a costa de perder "sus" lugares -que nadie les dio- de unificar la Iglesia en una sola Cabeza, siendo que únicamente podrán apacentar y regir, como verdaderos pastores, si su autoridad y jurisdicción es afirmada, robustecida y vindicada por el Pastor Supremo y Universal.No sabemos ¡hasta cuándo! seguirán mirando para otro lado al conminarlos -en el Nombre de Quien dicen amar- a trabajar DE UNA VEZ POR TODAS para que haya un sólo rebaño y un sólo Pastor, que es la única manera para que no sigan siendo "una muchedumbre de obispos confusa y perturbada" (León XIII) que contribuyen con su indolencia a la negación tácita y práctica de la Visibilidad de la Iglesia; porque el fundamento VISIBLE, instituído por el mismo Jesucristo, que le da fuerza y solidez ES EL PAPA y no ellos, aunque sean muchos y santos.La caridad más grande que pueden demostrar a Dios y a los fieles es que vean que se desviven y desangran por el bien eterno de las almas llevándolas al único redil de Cristo regido y gobernado por el Sumo Pontífice; siendo este, hoy, su deber más sagrado. Todo lo demás es como golpear al aire.Señores Obispos: "¡ Ya no durmáis, no durmáis, pues que no hay paz en la tierra!" (Sta. Teresa)


+ Julio Aonzo

Argentina, 17 de agosto de 2009


P.S.: La propuesta es la de reunir CUANTO ANTES en un Concilio a todos los Obispos Católicos Sedevacantistas para "pulir" el lenguaje y distinguir y separar la Unica Iglesia Católica inmaculada y perfecta de la Gran Ramera Apostática. Hecho ésto proceder a un cónclave. No existe ninguna razón para no llevarlo a cabo.Descargo: Que Dios no me reproche haberme "dormido" en esta "Agonía". La voz de alerta fue dicha. El tiempo vuela y el Señor viene.

PEQUENO DOSSIÊ SOBRE MONTINI

Tomado de RADIOCRISTIANDAD

El saber de la condición personal del autor ayuda a entender el sentido de su obra; por eso, antes de comprar un libro muchos tenemos en cuenta la biografía y el pensamiento de quien lo escribió. Sus libros, como hijos suyos, llevarán sus rasgos. De la misma manera es básico conocer la vida y la persona de los papas que engendraron la Iglesia del Concilio Vaticano II. De modo que mejor que enredarnos en la prosa de ‘la hermenéutica de la reforma’, o de si el irenismo mundialista es, o no es, fruto espontáneo del Concilio, deberíamos indagar de qué palo son las astillas. Porque es tonto protestar del menú envenenado sin investigar la cocina y al cocinero. Que nuestros pastores no se atrevan a este sensato proceder es, sin duda, porque el duelo les pesa menos que el arrepentimiento. Por eso algunas autoridades denuncian muy honrosos los errores inocultables para descargar de vergüenza a su vanidad y, en contrapartida, escabullirse del deber de rectificar. Aunque vivan en la hipocresía más nauseabunda. (Mt 23, 27)

Veamos, pues, que igual que un texto se descalifica por la perversidad de su autor, por más académica que sea su prosa, la vuelta del revés de la Iglesia no es culpa del siglo ni de los idus de marzo sino, más cierto, lo que podía esperarse del calibre de santidad de sus últimos pontífices. No nos intimide la verdad, que esta situación ya nos la previno Cristo para cuando viéramos «que la abominación de la desolación… se aposentara en el lugar santo.» (Mt 24, 15)

Empecemos, pues, con algunas informaciones sobre Juan Bautista Montini, Pablo VI, que fue cocinero muy principal de este menú reformista de la fe católica.

1) Educación sacerdotal bajo control de su madre.- Se dice que si no estudió en el seminario fue por su débil salud. Pero otros opinan, de acuerdo a la Iglesia de aquel entonces, que influyó más que la familia fuera sospechosa de actividades clandestinas revolucionarias. Por otra parte estaba el interés de la madre, opuesto al rigor docente de aquellos años, en no arriesgar que el seminario cambiase la formación de su hijo, peligro que desaparecía si estudiaba en casa. Su padre era editor de un periódico favorable a la Revolución y al comunismo, bajo el antifaz de militancia cristiano-demócrata. Así, el joven Juan Bautista no se apartó de un clima familiar totalmente contrario al sentir de la Iglesia, si bien la señora Montini y el prelado que le facilitó estudiar fuera del seminario publicitaban su piedad y virtudes cristianas… De ser verdad, sería único caso entre todos los miembros de la familia.

2) Actividades subversivas.- El señor Salvatore Macca,* vecino de Brescia, nos cuenta de los Montini algo que se supone conocería por su fácil acceso a informes y atestados policiales. Este caballero, Gran Cruz de Italia, nos cuenta en el número 380 de la revista ‘Chiessa Viva’, que en la casa del futuro Pablo VI se fabricaban explosivos “con tubos metálicos rellenos de tritol”. La familia Montini había refugiado bajo su techo al partisano comunista, y terrorista, Leonardo Speziale. Éste, años después, contó a los señores Gianfranco Porta y Maurizio Magri que la víctima de su primer atentado fue Ciro Miraglia, el Director de la cárcel de Brescia, cuando el 31 de octubre de 1943 circulaba en bicicleta por la vía Spalti S. Marco. La explosión lo descuartizó a él y a un soldado de 19 años que le acompañaba.

* Presidente Emérito de la Audiencia Territorial de Brescia y Presidente Honorario del Tribunal de Casación.

3) Caso Tondi.- Mons. Juan Bautista Montini, en su puesto de Pro-Secretario de estado, era ya muy activo en misiones subversivas aunque, por supuesto, cuidando no le salpicase ninguna responsabilidad. Para ello se instrumentaba con terceras personas. Así, la elección del joven jesuita Alighiero Tondi para secretario particular. Este cargo le permitía libre acceso a los archivos e informes confidenciales. Por ejemplo, los nombres y destinos de los sacerdotes que Pío XII mandaba a la “Iglesia del silencio”, en la URSS, de lo que el P. Tondi informaba a la policía soviética, que los encontraba y los mandaba a la cárcel, o a Siberia. El paso de Tondi por la Secretaría de Estado fue también decisivo para montar la red de curas comunistas que operarían en Hispanoamérica. No se pudo probar implicación directa de Mons. Montini, pero la firme sospecha obligó a Pío XII a apartarle de la Secretaría de Estado y, “Promoveatur ut moveatur”, nombrarle Arzobispo de Milán con negativa histórica la entrega del capelo cardenalicio que le correspondía a la diócesis. No es verdad que Mons. Montini lo rechazara por humildad.

4) Las puertas de bronce de la Basílica de San Pedro.– En el cuarterón de la Puerta del Bien y del Mal, la figura que corresponde a Pablo VI intencionadamente está de perfil, para mostrar el dorso de la mano izquierda con una estrella de cinco puntas ─pentáculo masónico ─ que poco después fue borrada. (Pero quedan las fotografías.)

5) Monumento en Varese.– En la catedral de Sacro Monte el escultor Floriano Bodini dedicó una estatua a Pablo VI, por encargo de Mons. Pasquale Macchi. Si bien la escultura parece enaltecer al Papa, en realidad exalta a la masonería por los signos masónicos que la adornan, entre ellos una oveja de cinco patas. La estatua fue inaugurada el 24 de mayo de 1986 por el Ministro de Exteriores, señor Giulio Adreotti, y por el Secretario de Estado vaticano, Cardenal Agostino Casaroli, que bendijo el monumento. Tanto Pasquale Bacchi, como Giulio Andreotti y el Cardenal Agostino Casaroli pertenecían a la masonería, según la lista Pecorelli y la anterior de los obispos alemanes.

6) Cementerio familiar.– En Verolavechia, en un pequeño recinto del cementerio rodeado por una tapia de 1m 60 cm, pocos años atrás aumentada a 2m 50cm, se guarda el tumulario de su padre y de su madre. Los símbolos son variados, de identidad masónica y judía. Ninguno netamente cristiano.

7) Exabrupto de Mons. Escrivá.– Alberto Moncada, en “Historia oral del Opus Dei”, en el capítulo I nos dice de su fundador: «En el fondo se desahogó conmigo de su frustración y puso verde a Montini, acusándole de masón y otras lindezas. Estaba muy excitado y previno que todos los que habían cooperado en esa elección [los cardenales que le votaron en el cónclave] se iban a condenar en el infierno.»

8 ) Credo de Pablo VI.- La nueva versión del Credo de Pablo VI en verdad no aporta mejor explicación que la que daban los catecismos. Es un bonito texto cuya intención se anuncia en el título: “Credo del Pueblo de Dios”. Decir “del pueblo de Dios” induce a pensar subliminalmente en el pueblo judío con primacía sobre Cristo. Así tenemos ahora la costumbre de referirnos a los judíos como los hermanos mayores; mayores en edad, mayores en virtud, en derechos, en… Y no son raros los católicos que afirmen que el Antiguo Testamento está sobre el Nuevo, cuando es todo lo contrario: El Nuevo es el que da justificación y sentido al Antiguo. La intención tenía que ser contraria puesto que, si así no hubiera sido, ¿para qué encomendar dos tercios de su redacción a su admirado maestro, y judío converso, Jacques Maritain? Converso a medias que nunca abandonó ni se retractó de su origen judío, o de su militancia y pensamiento comunistas.

9) Asesinato de Aldo Moro.- Podríamos hablar del caso Aldo Moro hasta colmar un copioso libro, pero nos limitaremos a los datos más significativos para el tema de este artículo. El Partido Demócrata Cristiano, del que Moro era líder, restauraba al homónimo que Mussolini proscribiera, probadas sus adherencias doctrinales y fácticas al comunismo y a la masonería. Recordemos, así de paso, que también la DC fue condenada por los papas Pío XI, León XIII, Pío X y Pío IX…

El 9 de mayo de 1978 aparecido ya el Fiat con el cadáver de Moro en el maletero, Monseñor Lefebvre conferenciaba en la Sociedad Teológica de la Universidad de Dublín. De su comentario a la terrible noticia recogemos estas palabras: «La Iglesia fue un baluarte contra los comunistas y, ahora, gracias a Pablo VI (ellos) son sus primeros hijos y, los demás, los repudiados. Aldo Moro era un agente de Moscú (…) al que se le había encargado lograr un compromiso entre los comunistas, el Vaticano y la Democracia Cristiana. Los comunistas en Italia ya están en el poder y eso sólo lo ha hecho posible la perseverante actividad de su agente Aldo Moro y del Papa Pablo VI.»

10) Once disparos.- Aldo Moro fue asesinado con once balazos en el corazón. Uno habría bastado pero fueron once; ni diez ni doce. Y en el corazón. Todo un ritual de signo esotérico. A la misa que ofreció Pablo VI, el 13 de mayo en San Juan de Letrán, extrañamente no acudieron ni la esposa ni los hijos, a pesar de su insistente solicitud. Sólo una representación formal… junto a políticos, autoridades más una nutrida fanfarria de banderas comunistas y del partido democristiano.

Podríamos seguir con Montini-Pablo VI porque este personaje es en la historia de la Iglesia un saco inagotable de sorpresas y tropelías. No obstante, entre sus seguidores y herederos quedan todavía nombres bien destacados en guillotinar la cabeza de la Iglesia, que es Cristo, y merecen también una mínima atención.

APOSTASIA: SÉRIE FOTOGRÁFICA PARA QUE NÃO ESQUEÇAMOS...

PRIMEIRO DEVE VIR A APOSTASIA (II TESS 2, 3-12)
O Beijo do Alcorão e Assis em 1986

Paramento indígena, Cruz invertida e festival imoral


Assis 2002 e rituais indígenas



União com a Sinagoga, mulher nua faz leitura e JP II bebe líquido oferecido a ídolos





Oração ecumenista, um turiferário conciliar e oração na "Igreja" luterana



Encontro com o deus budista, em Taizé e recebendo "benção" indígena


O Milagre do Conclave e a cilada «conclavista»


Por Araí Daniele

(correpondente do Coetus Fidelium em Portugal)


Pela razão que a Igreja é a depositária do Mysterium Fidei que concerne a vida de toda a humanidade, ao seu Chefe, Pedro, depois de uma plena profissão de fé e de amor, Jesus Cristo, unigênito Filho de Deus vivo, confiou-lhe as chaves para a instauração da Ordem do Pai na terra.
E o milagre deste poder divino no mundo humano se perpetua na pessoa do Pontífice Romano; o milagre da presença real de Cristo no Sacrifício do altar estende-se à Sede que existe para custodiá-Lo.

Eis o motivo da máxima devoção católica pela Sede de Pedro e tudo que lhe diz respeito, desde o conclave que elege o sucessor de Pedro até a pessoa do Papa. Por isto é sentimento genuinamente católico confiar no bom êxito de tal conclave, assim como inquietar-se durante a vacância papal, fato contingente devido à morte de um papa ou a outros fatos previstos pela Igreja.

O período de vacância representa uma hora escura para o mundo, porque nela falta por um tempo quem representa a autoridade divina, a Luz dos homens, instituída por Jesus Cristo para que no mundo sejam vigentes os princípios da Ordem de Deus Pai, que guiam ao bem social e à salvação.

São os princípios formadores da reta razão que guiam a reta vontade de todo homem em todo lugar e tempo histórico. Vejamos.

A disposição de toda criatura humana para o sacrifício, atitude religiosa comum a todos os povos de todas as épocas, encerra a consciência do débito original para com o Criador que determinou nosso estado presente e nosso fim último; é o compêndio inicial na visão da verdadeira Fé.

Essa incipiente fé essencial foi completada com o Sacrifício redentor dos homens querido pelo Pai e cumprido pelo Filho. E a Igreja, nascida deste sublime Sacrifício, foi instituída para celebrá-Lo em perpétuo.

Pode o católico perder a memória da continuidade deste luminoso milagre que Nosso Senhor continua a realizar para a salvação dos homens e do qual promanam os Sacramentos e tudo na Sua Igreja?
No entanto, nos tempos modernos, a percepção católica desse Milagre contínuo, o Sacrifício perpétuo de que já falavam os Profetas do Antigo Testamento e a cuja suspensão Daniel, confirmado por Jesus, indica o fim dos tempos, foi tragicamente obscurecida. E à perda dessa percepção sobrenatural por causa de uma devastadora pandemia do vírus naturalista, sobreveio também a perda da reta visão do natural e do sentido da vida, da morte, da dor, do juízo e da vida eterna.
Na tremenda crise que envolve a Igreja na hora presente, afim de que seja restabelecida a força e firmeza do pensamento católico, faz-se necessário a todo custo voltar à segurança das verdades fundamentais da Igreja, como esta da Igreja nascida do Sacrifício redentor, ao qual devemos aderir com plena consciência. Só neste impulso de reconhecimento do Sacrifício de adoração, de louvor, de expiação e de súplica é que se manifestam todas as virtudes e a verdadeira Fé, Esperança e Caridade cristãs.
Ao contrário, na apatia ou indiferença deste impulso mais alto, é que fenece na terra toda vida espiritual suscitada por Deus, até a hora fatal da suspensão do Sacrifício perpétuo, que é momento terminal da história.
Atenção, porém, de não seguir a tendência atual de transformar um débito, um dever em um direito, e considerando-se com direito aos sacramentos, consumi-los onde estes parecem estar. Pode isto agradar a Deus?
A razão do Primado da Sede Romana
O Primado de Pedro, o cargo papal, existe e subsiste a serviço da Doutrina que remonta sem nenhuma interferência ou descontinuidade na Palavra de Nosso Senhor, jamais de idéias ou visões de prelados modernos adaptados as teorias naturalistas que vicejam no mundo do falso progresso.
Como se sabe, às conquistas materiais corresponde o declino espiritual. Poderia este não afetar o Clero católico? Deste contínuo e fatal perigo poderiam os católicos perder a memória sem arriscar a própria fé?
Sobre o aspecto contingente da vacância não há dúvida, devido à natureza humana do Papa: é inevitável, os homens morrem e portanto quando um papa morre, todos os católicos reconhecem que a Santa Sé está vacante e para resolve-la a Igreja deve seguir normas de extrema segurança que foram desde sempre dispostos para impedir o terrível mal de uma tortuosa ocupação da Sé divina de Pedro por poderes que, também estes desde sempre visam subjugá-la num "aggiornamento" ao mundo presente.
Isto, que é impossível no plano divino, pode aparecer tal na esfera terrena com a eleição de um clérigo de inclinação modernista e maçônica, aberto aos planos de adaptação da Igreja aos tempos segundo as idéias mundiais de liberdade, igualdade e fraternidade, que desconhecem e desprezam a paternidade universal de Deus e o Sacrifício fraternal de Cristo.
Para lembrar o perigo e a inutilidade de conquistar o mundo inteiro, mas perder a alma, Jesus instruiu seus Apóstolos e discípulos. Onde estão? Ou será que seus supostos sucessores não vão por ai para exaltar justamente o falso progresso do mundo em evolução com os quais não só a Igreja, mas os fiéis deveriam se reconciliar? Quem precisa deles para reconhecer as novidades do liberal mundo moderno? No entanto, esta tem sido a lição sociológica e ecumenista dos vértices do Vaticano, que por isto se revelam, não só alheios à Palavra divina e portanto vãos, mas seus contrafatores e portanto apóstatas. E sendo a Fé a base da autoridade, estes, perdendo a Fé, renunciaram tacitamente a toda autoridade na Fé.
Por tudo isto, se era sentimento genuinamente católico confiar no bom êxito dos conclaves, agora é sentimento católico ainda mais forte reagir fortemente diante da presença de um falso pastor, de alguém aplaudido pelo mundo como representante de Deus em Roma, mas que promove uma religião que substitui o Sacrifício com um festejo.
O primeiro sentimento, portanto, que a Igreja seja governada por um autêntico Vigário de Cristo, em perfeita continuidade na fé católica, é legítimo na medida em que não esquece a finalidade de tal cargo, que é de confirmar a Fé íntegra e pura, recebida diretamente de Jesus Cristo.
Assim não é; desde a morte de Pio XII, a Igreja vive o inaudito drama de ver sua santa Doutrina acomodada ao mundo moderno para agradá-lo.
Sua causa foi a dúbia eleição do modernista Ângelo Roncalli, que assumiu o nome do antipapa João XXIII e convocou o Vaticano II para o tal "aggiornamento" da Igreja requerido pelo modernismo e pelas lojas.
Mas visto que esse modernismo é a ideologia a serviço da abertura da Religião ao diálogo com as idéias políticas e religiosas já reveladas contrárias à Igreja católica – como afirmou S. Pio X na sua Pascendi, (76): «definimos o modernismo síntese de todas as heresias» - pode-se afirmar, sem medo de errar, que João XXIII corrompeu a missão do Papado. De fato, ficou logo claro que o plano do Vaticano II convocado por ele mirava estabelecer as doutrinas ecumenistas condenadas pelo Magistério papal por estarem em ruptura com a Palavra evangélica.
A esta luz, visto que o cargo papal existe para confirmar a Fé íntegra e pura e por isto condenar o que lhe é contrario, como o modernismo, uma vez demonstrado que Roncalli e sucessores operaram para introduzir o modernismo na Igreja, eles não eram legítimos candidatos ao Papado, por não serem nem mesmo verdadeiros membros da Igreja de Cristo. E dai se pode e deve levantar o caso da ilegitimidade da eleição deles no conclave, assim como a grave questão de suas condenações, como ocorreu com o Papa Honório I, mais de quarenta anos depois de sua morte. Trata-se de «fato» que compete aos católicos distinguir e a um futuro Papa católico condenar canonicamente, embora sabendo que o papa precedente, Pio XII, promoveu estes prelados a altos cargos, ignorando que eram portadores dos vírus corruptores da Fé que ele ensinava infalivelmente.
Os homens podem ignorar o que Deus lê na mente de padres carreiristas. Mas quando os frutos que estes produzem são venenosos, seus planos se tornam reconhecíveis e compete então aos que os descobrem testemunhá-lo por caridade para com o próximo. O que Deus certamente quer e pelo qual a Igreja sempre se empenhou, é o máximo cuidado não só na escolha dos clérigos – dos quais muito depende a salvação das almas – mas da promoção destes para cargos de autoridade. Sobre tudo, quer a defesa do conclave pelo que este representa para a preservação da Fé. Dai o nome de evento fechado a chave para impedir toda violação sacrílega.
Os Conclaves não têm valor absoluto
A Bula «Cum ex apostolatus» do Papa Paulo IV é a explicação mais clara do valor relativo do conclave diante de suas condições absolutas, isto é que o homem eleito papa deve ter a fé católica e ser lúcido de mente, o que pertence também ao bom senso. Se alguém consegue enganar todos e a ser eleito papa sem professar a fé íntegra e pura da Igreja, a eleição é em si nula, mesmo se ratificada pela unanimidade dos cardeais, pela elevação desse eleito e pelo tempo em que ele é reconhecido papa devido ao fato de sua falta da fé verdadeira, como é o caso dos modernistas, ser ignorado por toda a Igreja militante. Sem a fé não se agrada a Deus e tanto menos se pode ser aceito para representá-Lo diante dos homens.
É verdade que o conclave goza da assistência do Espírito Santo, mas se nele é proposto como "papabile" um clérigo suspeito de fé desviada, a assistência se dirige aos filhos da Igreja, para que reconheçam o engano e a nulidade da eleição e possam resistir e reagir à obra de demolição da Fé que segue a essa falsa eleição, pedindo a eleição de um Papa católico.
Caso contrário, a negligência em reconhecer os promotores do que é contrário à Fé torna-se causa de castigo para uma Igreja exposta a enganos que provocam a sua demolição. Quem pode negar que essa ruinosa destruição começou a partir da morte de Pio XII e que deve necessariamente estar ligada à posição do cargo supremo para a defesa da Fé. O testemunho cristão olha para essa alta posição para enfrentar os poderes do mundo que visam, abusando do nome da Igreja, levá-la a desculpar-se e aceitar o que em dois mil anos, heresias, sacrilégios, falsos concílios e conclaves ilegais quiseram impor-lhe. É o trabalho dos falsos cristos e falsos profetas, previstos pelo Senhor, prontos a inocular na Igreja o vírus de cada falsa doutrina do mundo seu inimigo.
Como avaliar a aberração "conclavista"
Tem sido frequente ouvir que "conclavista" é quem visa um conclave no momento presente, isto porque considera que a Sé de Pedro foi ocupada por falsos pastores, que seriam antipapas, senão anticristos. Tal aspiração seria assim tachada de "conclavismo", uma aberração em relação ao conclave católico para a eleição de um papa, quando a Sede é vacante.
Como vimos, porém, há uma outra maneira de avaliar essa aberração, a saber, considerar um conclave como absoluto: isto é quem ali for eleito seria papa e não se discute mais, mesmo se depois se reconhecer nele um disfarçado modernista e filo-mação que se revelou tal pelas aberturas e novidades nesse sentido que introduziu na Igreja, de modo descrito há tempo nos mesmos planos maçónicos, que foram desvelados, onde se dizia que era preciso obter um papa que convocasse um concílio para transformar a Igreja segundo os princípios revolucionários.
Eis o que parece um dilema, mas não o é para o católico que segue os princípios da Igreja e não estes falsos princípios hoje dominantes.
Vejamos então onde reside a aberração do "conclavismo" partindo deste último que chamaremos "conclavismo conciliar". Para este, como se viu, a escolha de um papa num conclave é assistida sempre pelo Espírito Santo e portanto é questão decidida, este recebe de Deus o poder pontifical e não se pode duvidar dele em nenhum caso, duvidando da sua autoridade de origem divina, mesmo se ele demonstra intenção de mudar a Religião.
Deste modo a escolha do conclave teria valor absoluto, indiscutível.
Já se viu que esta posição é contrária não só a Lei da Igreja, na Bula de Paulo IV, mas ao bom senso que indica a falibilidade e malícia humana, da qual não estão excluídos nem mesmo os cardeais, como ficou claro.
Do outro lado temos o que se chama "conclavismo" para acusar os católicos que diante dos desvios escandalosos contra a Fé dos eleitos conciliares, proclamam, de acordo com a mesma Lei da Igreja, a necessidade de um conclave a realizar apenas se apresentarem as condições de envolver nisto o mundo que restou católico.
É verdade que em diversas ocasiões essa iniciativa já foi promovida com modalidades estranhas para descrédito de quem pensava suster o princípio da urgência de um conclave quando a Sede está vacante ipso facto, embora ocupada abusivamente. Mas isto não invalida o princípio em si.
Há pois "conclavistas conciliares", contrários aos princípios católicos, que acusam de "conclavismo" os católicos que testemunham o que se conhece como dever diante da Fé: que a Igreja tenha um Papa católico, que será contrário às atualizações modernistas do Vaticano II e volte a honrar o Culto do Santo Sacrifício, que é o fundamento de toda autoridade na Igreja de Jesus Cristo.
Errar nos princípios é falta incorrigível
"Quem erra salvando os princípios, pode ser corrigido; mas quem erra nos princípios é incorrigível" (S. Tomás).
Concluindo sobre qual seja o "conclavismo" deletério para a Fé e a Igreja, devemos considerar qual o Princípio do conclave católico.
Este é eleger um papa com fé católica, jamais um modernista.
No entanto tem sido comum confundir conclavismo com um geral sedevacantismo! Mas a aspiração de um conclave nas condições descritas de Sede vacante é não só legítima e católica, é dever.
Todavia é claro que a maneira de realizar isto pode ser em si ilegítima, imprudente, errada e desastrosa. Mas se trata de erro no plano contingente, dos efeitos, conseqüência do mal real, que se baseia de modo errado, mas no justo princípio. É claro que para os infelizes que dizem ser melhor ter um papa herege que nenhum (!), esta passa a ser a verdadeira calamidade, mais que a da Nave da Igreja desarvorada e sem bússola, que tem por causa a eleição nula de modernistas, que a levam ao abismo. Eis o princípio violentado, não no plano contingente dos efeitos, mas das causas. Visto que os "ismos" são em geral corrupção do princípio porque algo existe, temos aí duas interpretações contrárias do que seja "conclavismo". A primeira desacredita com o ridículo, na base de erros e besteiras contingentes, sedevacantistas que aspiram ver um conclave católico para eleger um papa que repudie o modernismo do Vaticano II.
A segunda que dá por certo que os conclaves que elegeram esses modernistas tem valor absoluto: senão a nave ficaria sem chefe, ainda que reconheçam que estes a levam para o abismo!
Francamente, quem pode duvidar que esse segundo é o nefasto "conclavismo" que dá ao conclave um valor divino. Basta ler a Bula de Paulo IV para compreender o calibre desse engano demoníaco.
Conclusão: é hora que se diga que o "conclavismo" a ser condenado é aquele que atribui a conclaves que elegeram, contra a Lei da Igreja, desviados modernistas e filo-maçons, como se fossem católicos, um valor absoluto, como validados por Deus e portanto divinos!
A primeira idéia pode ser ignorada, esquecida ou corrigida.
A segunda, da legítima eleição de Roncalli e sucessores conciliares para mudar a Igreja, é o "terceiro castigo" que Nossa Senhora profetizou em Fátima, a trágica "legalidade conclavista" que está demolindo a Igreja e poluindo o mundo, indicando tempos finais!
Salve Maria puríssima!

RATZINGER ELOGIA A ARZOBISPO HOMOSEXUAL



Por Átila Sinke Guimarães

El 28 de junio de 2009, el Papa Benedicto XVI envió un cálido mensaje de elogio a Juliusz Paetz, antiguo Arzobispo de Poznan (Polonia), al cumplirse 50º aniversario de su ordenación sacerdotal. ¿Quién es Paetz? ¿Qué hizo para merecer este honor?


Desde el año 2000, Paetz ha sido acusado repetidamente de abuso sexual a sus seminaristas del Seminario de Poznan. Los cargos en su contra se hicieron públicos en febrero de 2002 después de un reportaje en el periódico polaco Rzeczpospolita. Dicho reportaje sostiene que el comportamiento de Paetz fue tan notorio y censurable que el rector del seminario prohibió a Paetz visitarlo.


Cuatro seminaristas hicieron acusaciones formales describiendo los casos en que Paetz presuntamente los indujo a contactos sexuales. En vista del escándalo que estaba sacudiendo a Polonia, 43 intelectuales polacos de Cracovia y Varsovia firmaron una carta pidiéndole al Arzobispo cediera su cargo hasta que la situación fuese clarificada.


El periódico también afirmó que las cartas que describían aquellos cargos contra el Prelado, habían sido enviadas a comienzos del 2000 al secretario privado del Papa, el Obispo Stanislaw Dziwisz – hoy Cardenal de Cracovia – y al Prefecto de la Congregación para la Doctrina de la Fe, el Cardenal Joseph Ratzinger – el Papa actual. Aquellas cartas simplemente fueron ignoradas.
Como la presión continuó aumentando, se envió a Poznan una comisión vaticana para hacer una investigación al respecto. Más de 40 testigos fueron interrogados en total. Según fuentes no oficiales, la mayoría de ellos confirmó las acusaciones (ver Vatican II, Homosexuality and Pedophilia, pp. 284-285).


Debido a esa investigación y al creciente clamor contra ese escandaloso comportamiento, el Arzobispo Paetz presentó su renuncia a la edad de 67 años. Fue aceptada por Juan Pablo II en marzo de 2002. No obstante, permaneció en la Curia de Poznan participando en muchos eventos públicos.


Bajo el pontificado de Benedicto XVI, el Arzobispo Paetz ha seguido disfrutando de una buena posición. En mayo de 2006 fue mostrado por la televisión saludando al Papa durante su peregrinación a Polonia. En junio de 2007 fue una figura top en la jornada de la juventud en su país. También ha asistido a varias audiencias con el Papa Benedicto en Roma, donde es dueño de un lujoso apartamento. En abril de 2009 – como prelado en condiciones normales – se le vio participando en la celebración de aniversario de la Facultad de Teología en Poznan. (The Tablet, 4 de julio de 2009, p. 31).Pero los cargos contra Paetz incluyen más que abusos sexuales de seminaristas. De hecho, en noviembre de 2008 una comisión parlamentaria polaca fue creada para investigar su pasado después de que la prensa reveló que Juliusz Paetz había actuado como informante para el régimen Comunista mientras trabajaba en el Vaticano entre los años 70 y 80.Dado este pasado tan turbio, ¿cómo explicar la decisión de Benedicto XVI de honrar a este Prelado? No tengo una explicación precisa, pero el hecho es que el 28 de junio de 2009 le envió a Paetz un mensaje por el 50º aniversario de su ordenación sacerdotal. Su telegrama fue publicado por el semanario de la Arquidiócesis de Poznan Przewodnik Katolicki. En él, Benedicto lo felicita por su “fructífero” y “saludable trabajo por el bien de la Iglesia” que ha realizado en Polonia y en el extranjero.Benedicto también dijo, “guiando vuestro rebaño, disteis un testimonio de fe en la resurrección de Cristo que alejó todo temor.” Además, añadió que “venerando a María como Madre de la Iglesia y Reina de Polonia con un amor de hijo y la piadosa veneración de los santos y beatos de vuestra tierra junto con otros, trabajasteis para el progreso espiritual.” (The Tablet, ibídem).El P. Pawel Deskur, editor del semanario de la arquidiócesis, confirmó que el Arzobispo Paetz estaba “todavía activo” en la Jerarquía Polaca y que el Prelado ha solicitado personalmente que el telegrama del Papa fuese publicado. La Televisión Católica Polaca (KAI) emitió la Misa solemne en la Catedral de Poznan por la celebración del 50º aniversario de la ordenación de Paetz.


Comentando sobre el mensaje del Papa, el diario de circulación masiva Gazeta Wyborcza señaló que esas apariciones públicas del Arzobispo Paetz ha causado “desagrado entre muchos habitantes locales.” El diario Polska dijo que el “gran respeto” del Papa por el Arzobispo fue “sorprendente en vista de las severas declaraciones de Benedicto XVI sobre el clero que viola el voto de castidad” (The Tablet, 4 de julio de 2009, p. 31).Considero que los lectores tienen el derecho de saber acerca de esta nota de felicitación que hasta ahora no se ha visto en nuestros medios de comunicación.Quizás no sea superfluo recordar aquí que en un reciente documento del Vaticano donde se autoriza a los Obispos a apartar a los sacerdotes escandalosos, se afirma cuidadosamente que aquellas facultades no se aplican en los casos de sacerdotes homosexuales y pedófilos, sino que tales casos deben ser juzgados por la propia Santa Sede.La misma protección ofrecida a los sacerdotes homosexuales y pedófilos parece también aplicable a los Prelados con vicios análogos. Lo menos que se puede decir por dicho procedimiento es que es muy coherente, en efecto…

FONTE: http://radiocristiandad.wordpress.com/2009/08/02/el-papa-elogia-a-arzobispo-homosexual/

APOSTASIA GENERALIZADA DA FÉ CATÓLICA




Pelo Prof. Dr. Tomás Tello Corraliza

(Correspondente do Coetus Fidelium na Espanha)
(Da Obra "Cercania de la catástrofe final, según datos bíblicos", Vulcano Ediciones, 2005)



O acontecimento da Apostasia é o segundo sinal já cumprido. A apostasia ou o abandono generalizado da Fé, foi profetizado com traços vigorosos e inequívocos. "Cuidai que ninguém vos seduza. Muitos virão em meu nome, dizendo: Sou eu o Cristo. E seduzirão a muitos." (Mat.24,4). Esses falsários – os falsos profetas e falsos cristos – oferecerão sinais, farão prodígios e maravilhas tais, que enganariam, se isto fosse possível, inclusive os eleitos (Mat. 24,23-24; Mc 13, 21-22). É mais, o conspícuo comentarista J. de Maldonado opina que, inclusive, alguns eleitos serão também enganados, se bem, não definitivamente, - senão não seriam eleitos, como é lógico – por advertir o erro a tempo e dar meia volta.

Por isso, não é estranho que Jesus fizesse a si esta angustiosa pergunta: "Mas, quando vier o Filho do Homem, acaso encontrará a Fé na terra?" (Luc. 18,8). A Fé com artigo, no original grego (que não sei porque acontece de eliminarem nas traduções) com o que parece conotar que a Fé objetiva – mesmo quando a subjetiva permaneça em um grupo mais amplo – ficará reduzida a um grupo muito restringido, que, por uma graça especialíssima, saberá discernir o trigo da verdade da abundantíssima palha do erro, para pode, assim, iluminar os demais fiéis de boa vontade, simplesmente errantes, não heréticos.

São Paulo fala da Apostasia (quando se cita a São Paulo é bastante comum designar-la como a GRANDE APOSTASIA, ou seja, a Apostasia por antonomásia), como de um sinal da próxima vinda de Cristo, assim como, previamente, da aparição do Anticristo, como causador da mesma, com o imenso poder de sedução que lhe será concedido, para levar eficazmente ao erro àqueles que careçam de amor à verdade, que os pudera salvar (II Tes. 2,3).

Quais serão as dimensões desta Apostasia? O P. Sagüés sintetiza a tese apriorística, dizendo que será bastante universal, satis universalis. Será um aleijamento dos princípios da religião cristã, por medo do materialismo, ateísmo, etc.; mas, não de cada um dos homens, pois a Igreja, segundo a promessa de Cristo, permanecerá – senão, mais provavelmente, de uma defecção das nações que, com o consentimento da maior parte ou a mais influente da população, combaterão a Igreja ou intentarão destruí-la. Suarez disse que, talvez, será uma defecção da maior parte da Igreja.

Vejamos, agora, o que diz a exegese empírica, que se realiza ao fio dos acontecimentos, segundo se disse mais acima. Se deve recorrer, denovo, ao Cardeal Billot [na sua obra "Parusia"]. "Por outro lado – disse – observamos uma considerável perda da Fé, em nações outrora cristãs... que se comportam como indiferentes ou, inclusive, como inimigas da Fé cristã. Vemos que a Apostasia desde já (1920) tem caráter oficial... Os poderes declaram não reconhecer a Cristo, nem sua Lei. Existe um fenômeno, que distingue nossa época das passadas, o Ateísmo, que se mostra com toda publicidade e se reafirma com descarada ousadia... Até este grau de embrutecimento jamais se havia chegado antes". Faz menção do aumento de seitas esotéricas e da inundação de livros blasfemos, ímpios, irreligiosos e ateus, ao amparo das liberdades modernas, pelos quais o veneno penetra em todas as camadas sociais impunemente.

Até aqui, o Card. Billot, mais clarevidente que outros muitos autores mais modernos. E digo isto porque alguns autores contemporâneos que fazem menção da Apostasia se fazem curtos [das idéias] e não captam o alcance que tem na atualidade. Por ex., Benjamin Martin se expressa assim ao respeito: "É mister reconhecer que a Apostasia ou defecção da Fé vai aumentando...". A considera como um processo e cita Pio XII: "O inimigo está oculto e trabalha ocultamente.". Isto, quiçá, se poderia dizer em 1952, mas não em 1967, data da obra de B. Martín "ISRAEL E AS PROFECIAS". E muito menos se poderia dizer algo assim, como o diz Eusébio García de Pesquera, em 1990. Apesar da exatitude e aprumo, com que discorrem estes autores, sobre outros aspectos escatológicos, não souberam ver o fato consumado da Apostasia, que havia deixado de ser um acontecimento progressivo ou "in fieri", para se converter em plena realidade.
Repassemos a história da Igreja,com o fim de captar melhor a conexão entre o processo lento, mas irreversível, do Mistério da Iniquidade – que começou a realizar seu trabalho já nos tempos apostólicos – e a plena realidade da Apostasia atual.

A História nos ensina que sempre se deu o fenômeno do rechaço, por parte da imensa maioria da sociedade, das exigências ineludíveis do Evangelho. Essa reação inicial, instintiva, devido a manca do pecado original ("propter vulnera peccati" como disse Santo Tomás) permaneceu inalterada, ao longo dos séculos. Jamais, no melhor dos casos, a porcentagem de católicos ultrapassou os 20% da humanidade. Este rechaço de infidelidade positiva, de primeiro grau, segundo a qualificação de Sto. Tomás, estava também vaticinado. Sempre se contou com ele. A grei de Cristo é a "pequena grei".

Realmente. Os homens odeiam a luz (Jo 1,5). "A luz veio ao mundo, mas os homens preferiram as trevas." (Jo 3, 18). E o mesmo São João da a razão ou motivo do rechaço: Suas obras são más e sua vontade carece da devida retidão. Todo o que obra mal, odeia a luz e não a recebe, para evitar que suas obras sejam repreendidas. O expressa laconicamente o Salmo 35: "Noluit intelligere ut bene ageret". Isto é, "Não quer dar-se por informado, para não se ver constrangido a agir retamente."

O Mestre predisse aos seus o rechaço violento de sua pregação: "Por mim sereis odiados por todos os homens". Mas, este rechaço será o melhor meio para dar um testemunho famoso [divulgado], segundo faz constar S. Lucas (21,13).

O inimigo não se contentará com impedir a propagação da Fé; mas pretenderá, ademais, erradicá-la, por todos os meios, naqueles que a receberam.

O primeiro procedimento, de que se fez uso – como é sabido - , foi o da tortura e a morte; mas resultou em um intento falido, pois o sangue derramado, na expressão de Tertuliano, era semente que se multiplicava em novos cristãos.

Ao observar que este método não dava o resultado apetecido, se recorreu ao da sedução. Nisto radica o Mistério da Iniqüidade (cf. II Tes 2, 7) que começou a atuar já na era apostólica. Este procedimento prendia melhor nos espíritos e produzia ótimas colheitas de hereges e apóstatas. O Mistério da Iniqüidade cogitou, ademais, um procedimento muito sutil, para conseguir mesmo que a larguíssimo prazo, uma vitória total.

A estratégia planejada para isto foi a da infiltração, a de ir-se sendo enquistando [ser bem quisto] nas estruturas eclesiais (vide Encíclica PASCENDI de S. Pio X), até conseguir dominar postos chave, com o fim de se tornar vigários de seu conteúdo salvífico (único fim da Igreja) permanecendo, em sua aparência, inalterada. Este foi o trabalho de escavador, iniciado pela Gnose e continuada, ao longo dos séculos, por outras seitas esotéricas, até chegar o Modernismo, qualificado por S. Pio X, como síntese [composto] de todas as heresias e que provocou, através de uma hierarquia apóstata infiltrada, a Grande Apostasia.

Apostasias parciais se produziram muitas, no correr dos séculos; algumas de proporções gigantescas, que desgarraram da árvore frondosa da Igreja nações inteiras; como foi a invasão árabe ou a revolução protestante. Mas, então, como a pregação do Evangelho não havia chegado ainda a todas as nações do mundo, o que se perdia por um lado, se ganhava por outro. A perda das outrora florescentes cristandades do Norte da África e do Oriente Médio, ficou compensada com a massiva entrada no seio da Igreja de povos bálticos, escandinavos, eslavos e magiares. O rechaço da Fé por parte de várias nações européias, por conta da revolução protestante, se compensou com a pregação e aceitação da Fé, nas novas terras descobertas, na América e na Oceania. Mas, uma vez concluída a tarefa do anúncio evangélico a todas as nações [o que já ocorreu, Billot em 1920 comenta este fato], já não se pode reparar as perdas das baixas sofridas, sangria incurável.

O processo apostático, através das doutrinas deletérias dos filósofos do Século das Luzes, da Revolução Francesa, da chamada Revolução Industrial e do Comunismo ateu continuou sua marcha triunfal, com movimento uniformemente acelerado.

As nações, em quanto tais, a partir da Revolução Francesa, foram apostatando uma atrás da outra. Atualmente, este processo de repulsa do Reinado Social de Cristo, devido aos princípios falsos do Ecumenismo e da Liberdade religiosa, proclamados no "Concílio Vaticano II" pelos infiltrados na mesma cúpula eclesial, conseguiu queimar etapas, obrigando, ou ao menos, pressionando, as pouquíssimas nações que restavam, cujas leis se inspiravam nas do Evangelho, (por ex. a Espanha),a que renunciaram, oficialmente, a professar como única religião do Estado a religião católica. Os infiltrados, na mesma fortaleza – os falsos cristos e falsos profetas – não encontraram a menor resistência. O inimigo pode cantar vitória. No plano social, a Apostasia se demonstra com evidência sistemática.

No plano individual, a defecção da Fé católica, em uma grande maioria, fica, assim mesmo, matematicamente demonstrada, pela conexão necessária entre a Apostasia total do Estado e os cidadãos que o integram; pois dado o regime democrático dominante, não se poderia aprovar Constituições laicas, sem o sufrágio favorável da suposta maioria qualificada dos falsos católicos.
Mas, os que ainda mantenham sua fé integra, não tem mais que observar ao seu redor, e se verão surpreendidos, ao comprovar que muita gente, nominalmente católica, nega ou duvida de dogmas fundamentais do Credo católico. Às vezes, acreditam estar sozinhos [os verdadeiros fiéis].

Contudo, em casos de grandes crises, Deus sempre reserva um número de indivíduos – maior do que se pode pensar – que lhe permanecerão fiéis. Por isto, quando Elias se queixou de que havia ficado sozinho, em meio da apostasia de Israel, a divina resposta lhe fez saber que Yahvé havia reservado 7.000 varões, que não havia dobrado seus joelhos diante de Baal. Por outro lado, não devemos jogar ao esquecimento o fato de que a Igreja tem a promessa de permanecer até a consumação dos séculos. "As portas do inferno não prevalecerão".

Talvez, esta defecção, na ordem individual, em laicos e clero – alto e baixo – não a vêm ou resistem de ver-la, a imensa maioria dos supostos católicos atuais. Mas não faltam uns milhares de fiéis, esparsos por todo o mundo – alguém qualificou este fenômeno como A Diáspora dos católicos - , desde a Suécia a África do Sul; desde o Canadá a Argentina; desde a Nova Zelândia a Portugal. Estes designam a Roma atual (Babilônia no Apocalipse) como a Grande Prostituta descrita por São João (cf. Apoc. 17, 1ss)


Temos, pois, a Igreja pós-conciliar apóstata, radicalmente distinta e irreconciliável com a Igreja Católica fundada por Cristo. Se trata de duas Igrejas radicalmente diferentes, o confessam tanto os fiéis íntegros (aos quais, com despeito são chamados de "integristas") como os progressistas e acatólicos. Os Monsenhores Estepa e Iniesta falaram de UMA NOVA IGREJA CATÓLICA (cf. IMPARCIAL, 20-VI-1978). Ouçamos outro testemunho.

"Nos não versados em matéria religiosa encontramos uma diferença ABISMAL (sublinho) entra a Igreja pré-conciliar e a pós-conciliar; de tal maneira que teríamos que recorrer a uma minuciosa análise de seus dogmas, para encontrar entre ambas alguma relação". Isto foi afirmado por MALSAÑA, em sua sessão "Cajón de Sastre" no IMPARCIAL, (23-VI-1978). E este mesmo senhor – como um mínimo cético – termina com estas palavras: "Aqueles que não tenham vocação de predestinados e não queiram se converter em seletos para apartar de si aos demais, forçosamente (sublinho) hão de preferir a esta nova Igreja, que começa a se parecer – se bem remotamente – com a que Cristo imaginou". Sem comentários.

Por outro lado, o protestante José Cardona, em uma entrevista, manifestou o seguinte: "Muitas altas hierarquias romanas ainda não assimilaram o Vaticano II.". Inteligente Cardona! Bem sabia ele que o Vaticano II, levado a sua últimas conseqüências, conduz à destruição total da autêntica Igreja Católica, fundada por Cristo.

Não obstante, a imensa maioria dos fiéis – de boa vontade, enquanto não se mostre o contrário – se esforçam em crer, contra toda evidencia, que não se dá uma solução de continuidade entre ambas Igrejas; somente se trata de diferenças acidentais [dizem eles]. Os desvios errôneos, ou francamente heréticas, as atrelam à má interpretação do Concílio ou à desobediência.

Mas,os fiéis íntegros, inabaláveis, desde o primeiro momento e os que se lhes uniram, depois de repensar, repudiaram e repudiam a Grande Prostituta.

Estes foram formando grupos, em diversas nações, mais ou menos numerosos, baixo a direção de algum sacerdote. Posteriormente, o Arcebispo Vietnamita Mons. Pedro Martín Ngo-Dinh-Thuc iniciou Consagrações episcopais – que se intensificaram à partir de sua DECLARAÇÃO da Vacancia da Santa Sé (25 de fevereiro de 1982) – de sacerdotes sedevacantistas, com o fim de perpetuar a Hierarquia católica. Estes, junto com sacerdotes e fiéis coerentes, são os que mantém a tocha da verdadeira Fé, na sombra da diáspora. Todos estes fiéis – clérigos e laicos – são tachados de cismáticos pelos falsos católicos tradicionalistas, que seguem submissos e apegados, com mais ou menos repugnância, à Igreja conciliar.

É mister que se conheça esta realidade, bastante desconhecida em nossa pátria.

Terminemos esta seção. Os sintomas do sinal cumprido da Grande Apostasia, segundo o exposto, estão suficientemente claros para os que queiram ver, deixando de lado os lastros de prejuízo. Muitas vezes não se vê, porque não se quer ver.
* * * * * *


Tradução feita por Antonio Cesar Abdalla Chiaradia, 13 de agosto de 2009.
Nota: Pela publicação deste artigo não se afirma, supõe ou subentende-se que concordamos completamente com todas as idéias de seu autor, Tomás Tello.

DOIS VÍDEOS CATÓLICOS



Vídeo elaborado pela UCT em homenagem a Mons. Carmona

Este vídeo é interessantíssimo, pois demonstra o combate católico deste insígne antístite no México. Só antecipamos uma coisa: quem assitir este vídeo jamais esquecerá os dez mandamentos. Saiba o motivo assistindo-o.







Gustavo Corção cita seu amigo Homero Johas, em conferência feita em 1976

http://www.youtube.com/watch?v=PV9sYiS8GFg


Só para recordar: Corção também protestou contra a interferência de Montini (Paulo VI), que procurou impedir a execução de cinco terroristas comunistas espanhóis que haviam assassinado um policial. Montini na ocasião, em contrapartida, não dera uma palavra sequer sobre a execução de cinco pessoas que haviam desfalcado a URSS:
"Eu não aceito como católicas, como verdadeiras, como pronunciadas em são juízo, as palavras que acabamos de ler... Repito com todas as letras e procuro ser o
mais claro possível: o escritor G.C., conhecido por sua obstinação católica,
recusa acatamento a toda essa trama de comunicações que se inculcam como
centradas na Igreja e no Papa... Um Papa católico não pode dizer tantos
disparates como esses... Temos aqui um exemplo de intolerável aberração, diante
da qual não há título, paramento ou Tiara que possa manter intacta a autoridade. Por mim, não posso crer que tais palavras foram realmente pronunciadas por um Papa católico."
22/1/1976 – Contrastes e Confrontos – Gustavo Corção

O PROJETO DE BENTO XVI CONTINUA O VATICANO II


Por Araí Daniele
Tradicionalistas silentes diante de heresiarcas frementes


Considerando o que disseram, escreveram e fizeram os antecessores conciliares de Bento XVI, hoje, em vista do que este diz, escreve e faz, podemos afirmar, sem risco de errar, que ele é o contumaz postulador do mesmo 'Grande Projeto' que convoca todos os homens, não mais somente católicos, a construir a nova paz e não mais com oração e penitência, mas com uma nova revelação rebelde tipo "Populorum Progressio", "Progresso e Paz" e "Caritas in Veritate"; "luzes" que focalizam a "nova ordem mundial", ignorando a conversão à Ordem do Pai.

O que são e de onde vêm essas luzes?
Responde Bento XVI: "Da Nostra ætate do Vaticano II, que nos indicou como um dever… soluções concretas para a Igreja católica, depois de uma longa e difícil procura. Trata-se da atitude a adotar pela comunidade dos fiéis diante dos conceitos e exigências afirmados pela filosofia de Luzes [luciferinas!]. Porque é preciso acolher as conquistas reais da filosofia das Luzes, os direitos do homem e em particular a liberdade da fé e de seu exercício, reconhecendo igualmente neles os elementos essenciais para a autenticidade da religião.»

Assim, estes conciliares querem atribuir à Religião autêntica, porque revelada por Deus, as "luzes" da rebelião iluminista elucubrada por revolucionários para anulá-la, repetindo sem cessar em Roma, Jerusalém, Manhattan, e toda terra, que a paz é possível porque é obra dos homens, de todos, fruto de convergentes esforços sob a direção mundial da idéia maçônica pela qual os homens são bons e capazes de realizar autonomamente a "nova ordem mundial" do bem na terra!
É o "culto do Homem" que substitui o Culto e a Ordem de Deus.
O católico diante dessas "luzes" deve distinguir erros ou heresias?
Pode parecer que neste caso o desvio diria respeito, não diretamente a um dogma de fé, mas a uma conciliação com uma nova ordem terrena e seu novo conceito iluminista de progresso. Na verdade pode-se individuar a heresia sabendo que todos os Papas acusaram esses males e o Papa Pio IX pronunciou-se sobre essa impossível conciliação. "É inútil falar de conciliação, pois que a Igreja não se poderá jamais conciliar com o erro, e o Papa não se pode separar da Igreja". Se tal conciliação se opõe à Fé da Igreja é heresia e então o projeto do Vaticano II, hoje continuado por Bento XVI, é herético e seus promotores heresiarcas. Silenciar isso, pelo mal enorme que faz, implica cumplicidade, ou pelo menos uma grave indiferença, detestável ao Chefe da Igreja; a Jesus Cristo.
Na «Gaudium et Spes» (GS) do Vaticano II foi preparada a confraternização universal homologada à nova ordem mundial, também ao nível de ideologias e de religiões. E a missão da nova igreja passou a ser «benzer» as iniciativas que na «Gaudium et Spes» torna-se um novo preceito «evangélico»:(40c) Diálogo entre a Igreja e o mundo - «Esta compenetração da cidade terrena com a celeste só pela fé se pode perceber; mais, ela permanece o mistério da história humana ... Procurando o seu fim salvífico, a Igreja não se limita a comunicar ao homem a vida divina; espalha sobre todo o mundo os reflexos da sua Luz, sobretudo enquanto cura e eleva a dignidade da pessoa humana, consolida a coesão da sociedade e dá um sentido mais profundo à quotidiana atividade dos homens... ela muito aprecia a contribuição que as outras igrejas cristãs ou comunidades eclesiais têm dado e continuam a dar para a consecução do mesmo fim... firmemente persuadida de que pode receber muita ajuda, de vários modos, do mundo, pelas qualidades e ações dos indivíduos e das sociedades, na preparação do Evangelho.»
Essa tal ‘consecução do mesmo fim’ implica aqui pelo menos uma contradição, pois ou a prioridade deste fim é a Fé, ou a consecução de uma paz terrena. A prioridade cristã está no ensinamento evangélico: ‘Buscai em primeiro lugar o Reino de Deus e a sua justiça e tudo o mais vos será dado por acréscimo’ (Mt 6, 33). E a Igreja sempre ensinou que o primeiro fim que o cristão deve almejar para a sociedade é a elevação dos homens pela Fé, que tem por conseqüência tudo o mais: a fraternidade humana, na harmonia também terrena. Mas aqui almejado não é o fim da Fé, vista a colaboração e intercâmbio com outras igrejas e com o mundo agnóstico. O fim prioritário de todas estas, por assim dizer cidades, só pode ser a felicidade terrena. Então, somente cidades que aceitam ‘idéias religiosas’ afins ao bem terreno podem falar de compenetração; impossível para S. Agostinho. A ‘fé’ mencionada está ao serviço da fusão de duas cidades metafisicamente contrapostas. Para isto a GS conclui com uma norma operativa: "A seguir expõem-se alguns princípios gerais para promover convenientemente o intercâmbio e a ajuda recíproca entre a igreja e o mundo, nos domínios que são de algum modo comuns a ambos.
Bento XVI continua o plano do Vaticano II que dá razão às várias organizações maçônicas, no sentido de ler a prioridade do ensinamento evangélico do modo seguinte: ‘Buscai em primeiro a união, a justiça e a paz do mundo e tudo o mais, a globalização e o livre mercado religioso vos será dado por acréscimo’.
Ora, è claro que esta tentativa de fusão das duas cidades operada pelo Vaticano II com o seu documento sobre o mundo, a Gaudium et spes se propõe, pois, como se viu, resolver o problema da convivência humana neste mundo, não mais perseguindo o bem na unidade de uma mesma fé, como revelado por Deus, mas ‘aggiornando’ a Fé ao fim da unidade humana, segundo o iluminismo, que tornou-se o novo fim cristão! A humanidade unida e pacificada é a utopia a atingir: o ideal segundo as ideologias empata com o paraíso terreno segundo as religiões. Eis a nova conciliação de todos os erros que aparece como possível porque o Papa católico, que a tanto se opunha, foi ‘liquidado’ e substituído na Cidade cristã, ocupada pelo erro perverso da justiça e paz à despeito da Fé.
A irredutível incompatibilidade da Igreja com esse mundo moderno anticristão é questão de fé. E tal conciliação foi condenada no Syllabus de erros. Como pode, portanto, o Vaticano II tê-la como objetivo? Demonstra assim a sua intrínseca perversidade herética, disfarçada num mar de ambigüidades iluministas.
Vamos dar um exemplo do que seja essa nova ordem terrena e o novo conceito iluminista de progresso para entender, se ainda preciso for, o que comporta a sua liberdade na ruína da ordem moral de todo o mundo.
Vamos ao caso do aborto, pelo qual devem ser os homens, o povo soberano através do voto democrático, a determinar o que é bem e mal com respeito à vida humana. Pode a Igreja de Deus conciliar-se com esta inaudita transgressão da Lei divina, aceitando a liberdade de votar, mesmo que seja contra a liberdade do aborto, sem cair numa radical contradição, incorrendo numa fatal oposição aos mandamentos de Deus, que não são matéria de opção democrática?
Tais "luzes" consistem, pois, essencialmente no direito humano à liberdade não só do erro, mas do delito ... para que haja paz na sociedade! Foi a alucinação que "iluminou" a "intelligentzia conciliar", declarando o direito à liberdade do erro até contra a Religião divina, que pretendem absurdamente representar!
Ora, vejamos o que é a heresia, por exemplo, segundo são Tomás de Aquino, (ST, II-II: 11:1): "O termo heresia implica a idéia de escolha, eleição e esta têm por objeto os meios, pressupondo como já estabelecido o seu fim. Por outro lado, como demonstramos (q.4 a.3; a.5 ad 1), no crer, a vontade adere a uma verdade como bem próprio. Daí que a verdade principal aparece como último fim; enquanto as verdades secundárias, aparecem como meios que levam ao fim. E quando aderimos às palavras de alguém, parece que o principal e quase fim do ato de crer é aquele em cuja palavra se crê; as verdades tratadas para crer nele, ao invés, tornam-se secundárias. Assim, quem professa a fé cristã adere com a própria vontade ao que realmente constitui a doutrina de Cristo. Em conseqüência, pode-se desviar da integridade da fé cristã de duas maneiras.
A primeira, recusando-se a aderir a Cristo, demonstrando má vontade com respeito ao mesmo fim. É o que acontece com os pagãos e os judeus.
A segunda, porque embora tenha a intenção de aderir a Cristo, erra na escolha dos meios, porque não elege as verdades realmente ensinadas por Cristo, mas o que lhe sugere o próprio pensamento. Assim a heresia é uma espécie de infidelidade, própria de quem professa a fé de Cristo, mas corrompendo seus dogmas. Segundo estas explicações, a escolha está para a infidelidade, como a vontade está para a fé."
A "matéria-prima" tanto da fé como da heresia é o depósito da Fé, que é a soma completa das verdades reveladas pela Tradição escrita e oral e assim propostas a crer pela Igreja de Cristo. Os fiéis aceitam o inteiro depósito como proposto pela Igreja e sua lei; os hereges, ao contrário, aceitam apenas partes desse depósito e dessa lei, se aprovados pelas próprias idéias ou vantagens. É o procedimento dos hereges: escolher seus termos na Fé ou na moral, que é também matéria para a lei da Igreja, conforme a própria ideia ou conveniência. A heresia pode ocorrer por ignorância das verdades católicas, ou por julgamento erróneo devido a uma imperfeita apreensão ou compreensão dos dogmas; casos em que a vontade não é implicada, de modo que a condição de pecado falta e a heresia é somente material e não formal.
Aqui nos propomos, porém, tocar o dilema que envolve tradicionalistas: errados ou hereges? Ora, se a vontade adere livremente a termos doutrinais ou legais falsos, cuja veracidade a autoridade divina da Igreja já estabeleceu, há que esclarecer se foi por ignorância ou por pertinácia. Nisto o mundo tradicional, especialmente clerical, não vai encontrar facilmente a desculpa da ignorância. Encontra, invés, muitas agravantes, como sejam o orgulho intelectual ou uma exagerada confiança nas próprias visões, ou até mesmo a ilusão de um zelo fiel com a obediência absoluta aos superiores. Também não faltam as tendências políticas e nacionalistas, que dependem de compromissos clericais. Isto sem falar dos laços de interesses materiais e pessoais e sem descer em outros ainda mais baixos e desonrosos, em que a verdade é talhada segundo os próprios vícios e fraquezas. A heresia é então imputável à pessoa e comporta vários graus de culpa, pois dependendo da vontade pessoal, passou da condição de material a escolha consciente, à formalização pertinaz do delito na fé.
A este ponto vamos configurar um caso concreto e comum entre os assim chamados tradicionalistas. E isto é feito porque se este caso se repete com muitos, é contagioso, e ao dano para essas almas se soma o dano enorme para a defesa da Igreja, que ficará assim com carência de defensores e abundância de desertores e traidores, como acontece na desastrosa hora presente.
No caso que a heresia não ocorra por ignorância das verdades católicas, ou por julgamento erróneo devido a uma imperfeita apreensão ou compreensão dos dogmas, então ocorre por escolha da própria vontade, que é assim implicada de modo formal: escolhe-se o caminho conforme a própria visão ou conveniência no campo da Fé ou da moral, o que implica também diante da lei da Igreja.
É claro que aqui o caso concreto e comum de heresia a configurar para os assim chamados tradicionalistas, é o daqueles que se propõem a guiar os outros, em especial se vêm como religiosos, sacerdotes, bispos ou "eleitos papas".
O critério de rejeição é ensinado por São Paulo (Gálatas, 1, 6-10): "Admiro-me por abandonares tão depressa Aquele que vos chamou por meio da graça de Cristo, passando a outro Evangelho. Na realidade não existe outro Evangelho. Há somente pessoas que semeiam confusão entre vós e querem inverter o Evangelho de Cristo. Ainda que sejamos nós mesmos, porém, ou um anjo do céu a vos anunciar um evangelho diferente daquele que vos anunciámos, seja anátema. Já vos dissemos antes e agora repetimos: Maldito seja quem vos anunciar um evangelho diferente daquele que recebestes. Porventura procuro a aprovação dos homens ou a aprovação de Deus? Procuro agradar aos homens? Se procurasse agradar aos homens, não seria servo de Cristo."

São Paulo ensina o Evangelho recebido de Deus, que não é invenção humana; que não recebeu nem aprendeu de um homem, mas da revelação de Jesus Cristo,
Verdade, Caminho e Vida, que recebeu todo poder no Céu e na Terra.
O que significaria inverter o Evangelho de Cristo senão atribuir a organizações terrenas, alheios ou contrários a Jesus Cristo, poderes de iluminar os homens com os "conceitos e exigências afirmados pela filosofia de Luzes... conquistas reais da filosofia das Luzes, os direitos do homem e em particular a liberdade da fé e de seu exercício, reconhecendo igualmente neles os elementos essenciais para a autenticidade da religião"! Esse seria o novo evangelho autêntico de Bento XVI que segue os "caminhos" do Vaticano II nas "verdades" da ONU, para agradar os homens! Trata-se, pois, da "liberdade da fé e de seu exercício" segundo os vários evangelhos humanos reunidos na amaldiçoada operação de unidade ecumenista. Liberdade que eles são os primeiros a abusar para inverter o Evangelho do Senhor, confirmado durante dois mil anos pela Sua Igreja.
Até aqui os assim chamados tradicionalistas podem compreender, bem ou mal, que a igreja conciliar de Bento XVI e antecessores não é católica, mas herege.
O problema de configurar o caso concreto e comum de heresia daqueles que se propõem guiar os outros, em especial de consagrados, supostos tradicionalistas, não está na ignorância dessas verdades católicas, nem num julgamento erróneo devido a uma imperfeita compreensão da inversão conciliar, grave problema que já reconheceram, e pelo qual já lutaram no passado. Se trata da escolha, segundo a própria vontade, do caminho conforme a própria visão ou conveniência no campo da Fé e da moral, o que implica escolha também diante da lei da Igreja que decreta a autoridade nula dos "eleitos papas" para o culto do homem, para a paz como obra de esforços convergentes sob a direção global da idéia maçônica. A Igreja certamente tem leis para impedi-lo, senão não seria perfeita e divina, mas estes vão ignorá-las. Se os hereges pregam que o homem é bom e capaz de realizar o bem da "nova ordem mundial" do bem na terra, dispensando o Evangelho, estes se consideram bons para enfrentar essa medonha heresia recorrendo aos próprios expedientes e dispensando a Lei da Igreja! Como os conciliares, confiam no recurso às próprias visões e ações!
O reconhecimento e submissão a essas falsas autoridades implica cumplicidade efetiva a tal projeto, porque assim ele encontra cada vez menos resistência, pelo menos destes negadores da lei da Igreja para a defesa da Fé íntegra e pura. Para isto tais infelizes chegam a inventar estultices sacrílegas como que seria melhor ter um "papa herege" que nenhum. Que Deus tenha piedade de nós!
Por tudo isto aqui é preciso deixar um grave apêlo a quem conhece as doutrinas perversas do Vaticano II, que desonra a Igreja e perde as almas, mas ao mesmo tempo aceita a autoridade de quem as promove em modo pertinaz.
Se até hoje pode ter havido uma resistência invencível a discutir a legitimidade de tudo que vem coberto, bem ou mal, pelo aspecto papal, esta desculpa não mais pode ser justificada na fé se, depois de um próximo conclave, por quem persevera em reconhecer como Vigário de Cristo, o eleito, não para confirmar a Sua Palavra e Ordem cristã, mas para substituí-la com uma nova ordem mundial iluminista e anticristã. Isto foi o que considerou mons. Marcel Lefebvre quando escreveu aos cardeais do último conclave de seu tempo, para dizer que continuar o Vaticano II significa pôr em perigo a Fé*. Isto foi especificado nos libelos escritos junto com mons. Antônio de Castro Mayer, em que diziam a João Paulo II e aos padres do Sínodo de 1985, por ocasião dos vinte anos do Vaticano II, que "se não se volta ao magistério da Igreja, mas se confirma o que foi proclamado em matéria de liberdade religiosa o erro fonte de heresias, teremos o direito de pensar que os membros do sínodo não professam mais a fé católica e Vós, não sereis mais o Bom Pastor".
Estes parciais testemunhos das décadas passadas devem ser considerados para serem finalmente completados em vista de tudo que ocorreu em modo crescente em seguida contra a Fé para a descristianização dos povos. Isto antes que seja tarde para a salvação própria e do próximo, segundo a própria responsabilidade, por causa da gravidade do falso testemunho de reconhecer um apóstata público como papa. Toda falsa autoridade conciliar foi eleita até hoje para continuar o mesmo "Grande projeto" modernista para a reconciliação com o mundo que leva à perdição das almas e à grande apostasia da Igreja nascida do Sacrifício salvador de Nosso Senhor Jesus Cristo pela inversão do Seu Evangelho, onde diz dessa babilônia: "Sai dela, meu povo, para não serdes participantes de seus delitos, nem incluídos nas suas pragas" (Ap. 18, 4). Na "A Mística Cidade de Deus" (Volume Coronation, pag. 244 ed. americana) é atribuída a Nossa Senhora uma oração: "Peço-te, oh Filho meu, que vejas a aflição da Tua Igreja e como Pai amoroso, apresse o socorro aos Teus filhos, gerados pelo Teu Preciosíssimo Sangue".

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* Lettre de Mgr Lefebvre à plusieurs cardinaux lors du conclave d’octobre 1978: Itineraire nº 233, p. 129.

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O artigo de Sandro Pelegrinetti de Pontes é bom e arguto ao citar o Papa Pio IX que acusa os valores que hoje são de máxima estimação pelos liberais e que o Vaticano II teve intenção de "purificar", como dizia o então card. Ratzinger ("Jesus" entrevista de 1984). Hoje ele amplia a operação como Bento XVI.

Aproveitaria para fazer notar uma questão que merece máximo cuidado.
Trata-se da confusão entre o que se costuma chamar valores e princípios.


A liberdade é um valor, mas privada do princípio da verdade é um anti-valor.


Para os conciliares, porém, valor e anti-valor devem conviver na dialética de tese – antítese – síntese. Quase como se bem e mal, trigo e joio devam conviver para formar um novo produto com novos princípios vitais.
O problema dessa revolução não se define, porém, completamente com os conciliares. Estende-se aos tradicionalistas da contra-revolução religiosa.
Estes interpretam a parábola do joio e do trigo como um imperativo natural: onde há um há o outro e devem conviver; aplicam isto também aos princípios católicos. Deste modo o trigo da Fé íntegra e pura pode conviver com o joio da heresia interpretado à luz da Tradição. Aonde? Dentro da mesma Igreja pode haver um "papa" da Tradição e outro da revolução. Dom Lefebvre exclamava: "É dramático que se afirme que os papas não viram o que há de verdade cristã nos princípios da revolução de 1789"... juntando na mesma condenação os falsos princípios do liberalismo e as liberdades boas que ele propõe; haveis cometido um erro histórico".
Hoje isso foi invertido na dialética conciliar: é "dramático"... que não se afirme... e que não se peça desculpas por essas condenações. Eis o problema, que parece uma discussão interna entre partidos a mesma democracia clerical.
Ora, a Igreja não precisa de uma contra-revolução que discuta com a revolução; de consagrados na Tradição que acusem, mas aceitem os reconciliados com a revolução. A Igreja precisa do contrário de uma revolução, que proclame o que é irreconciliável diante de Deus. E isto se explica bem na questão da Ordem cristã, alterada pelas novas "ordens" mundiais e conciliares. Na defesa da Ordem de Deus Pai, não há lugar para outras ordens de "outros papas", mas só para descrever desordens de falsários. A ofensiva contra a operação conciliar de prelados desviados, desde João XXIII a Bento XVI, não visam tanto homens espiritualmente decaídos, como se fossem maus católicos, maus papas, mas como membros de uma contra-igreja da desordem cuja revolução "religiosa" consistente em negar a unicidade da Ordem, que é divina e portanto profissão de fé indispensável para ocupar cargos de autoridade que presidem no mundo.
Assim, o chamado "sedevacantismo" ao contrário de ser negativista diante do Papado, é justamente o contrário da revolução ou dessa contra-revolucão que discute o Papa como se não representasse a Autoridade de Deus em Terra.
Testemunhar a contingente vacância da Sede papal, não é contra, mas a favor da Sede da Verdade, que é o termo mais alto da Ordem divina confiada aos homens: da autoridade de Deus Pai para a ordem no mundo. Esta não se revela ocupada hoje por um vazio liberal, mas vazia de quem representa as verdades católicas neste mundo. Não se trata, pois, tanto de luta contra-revolucionária face a um "papa da revolução", que não existe, mas da luta para a eleição de um papa católico, de que o mundo precisa para instaurar tudo em Cristo.
O grave risco da falsa luta que vive na dialética de opor valores a anti-valores, como se o bem fosse o oposto maniqueísta do mal, a discutir, é que acaba por opor Cristo ao anticristo, que bem pode estar legitimamente sentado na Sede vaticana, como admitiu num momento de desvario mons. Lefebvre. Mas ele e seus seguidores não podem ignorar que liberais e modernistas estão fora da Igreja de Jesus Cristo. Ou será que crêem que a essência da Igreja está nos palácios vaticanos? Que quem os ocupa representa bem ou mal a Igreja, como Lula a República do Brasil? Se assim não pensam, assim procedem como contra revolucionários que tendo perdido a bússola, agora querem navegar com os anticristos para uma próxima restauração num admirável mundo novo onde as falsidades seguem de mãos dadas com os tais valores livres de princípios!
Sim Sandro, lutemos contra os defensores do Vaticano II, sabendo que são "católicos liberais" tão condenados quanto foram os liberais não católicos. Estejamos atentos a este tipo de "católico", que é um inimigo ainda pior do que os liberais, mais perigoso do que maçons e comunistas. Mas não menos atentos com os tradicionalistas, que parecem bem intencionados contra-revolucionários, mas que no fundo adotam o lema de Voltaire: estamos em dissídio com os papas anticristos, mas dispostos a morrer em defesa da liberdade deles de pontificarem heresias como autoridades da Igreja, contra a repulsa dos sedevacantistas! Vivemos no "século do nada", ou da "mentira", hoje do desvario! Sejamos firmes na Fé em Cristo, que é o contrário das alucinações "católicas"!




 
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